News

SI vous avez déjà lu le roman, cela vous rappellera quelque chose…

Ben voilà, ci-dessous :  je suis un visionnaire (en fait tout cela est logique, et cela s’est déjà produit). Hélas l’Histoire littéraire (et encore moins l’Histoire tout court) ne retiendra mon nom. J’aurai fait tout cela pour simplement me retrouver avec quelques cartons à solder…  (Traduction en dessous — et mecii François V. d’avoir repéré…
Lire la suite

ÉNORME PROMOTION SUR LES DERNIERS EXEMPLAIRES PAPIER

(à compter du 13 mai 2024) Il faut finir les 2 derniers cartons ! (Il m’en reste une cinquantaine d’exemplaires). Les tarifs de la poste étant absurdes (plus c’est lourd, moins ça coûte cher, pourtant faut les trimballer), mes promotions peuvent être, et sont donc, plus importantes si on m’en prend plusieurs exemplaires en une…
Lire la suite

Les peuples autochtones, ces fins connaisseurs du changement climatique

Article de Knowable magazine traduit et paru dans Courrier International le 6 avril 2024 : ce qu’on y dit est un des propos de « Au lourd délire des lianes ! ». Les climatologues recourent de plus en plus aux observations des populations autochtones pour analyser le dérèglement climatique. Et ils ont tout à fait raison de…
Lire la suite

« Qui a peur du Maskilili ? », de Jack Chaboud

L’ami écrivain Jack Chaboud vient de publier un nouvel ouvrage jeunesse. Chaman Jean-François qui pourtant connaît ses esprits sur le bout des doigts ne connaissait pas celui-ci. Il va se procurer cet ouvrage… Faites de même !

PROMOTIONS DERNIERS EXEMPLAIRES PAPIER HIVER 2023

PROMOTIONS DERNIERS EXEMPLAIRES PAPIER (valables à compter du 29 octobre 2023) Les tarifs de la poste étant absurdes (plus c’est lourd, moins ça coûte cher, pourtant faut les trimballer), mes promotions peuvent être, et sont donc, plus importantes si on m’en prend plusieurs exemplaires en une fois.  1 exemplaire, franco de port : 18 € au lieu…
Lire la suite

Une recommandation lecture de « Survival International »

Un propos, entre autres, qui est aussi porté dans Au lourd délire des lianes… Bonjour , Je suis très heureuse de pouvoir vous annoncer la sortie du livre Décolonisons la protection de la nature : plaidoyer pour les peuples autochtones et l’environnement, écrit par ma collègue Fiore Longo, directrice de Survival France. Le livre est disponible…
Lire la suite

« Allons enfants de la Guyane »

Article de Mikaël Faujour, dans Le Monde Diplomatique de janvier 2023 > Le livre est présenté et en vente ici (La préface est d’Alexis Tiouka, cité dans mon roman)

Le plat de bonne année

La tribu Macroqa est heureuse de vous offrir le plat traditionnel de bonne année offert aux étrangers. Il s’agit d’un crapaud farci aux fourmis-flammes. Si vous le mangez, vous êtes garantis de connaître bonheur et prospérité pour 2023 (Refuser cette offrande peut en revanche vous attirer les foudres du Grand Yolok). Et n’oubliez pas d’acheter…
Lire la suite

Zad en Guyane : « Nous ressentons la déforestation dans notre chair »

Opposé à une immense centrale électrique en Guyane, qui rasera des hectares de forêt, un peuple a créé la première « zone autochtone à défendre ». Pour ses représentants, c’est une « question de survie ». Une délégation autochtone guyanaise s’est rendue en France métropolitaine pour partager son combat contre une mégacentrale électrique qui menace une centaine d’hectares de…
Lire la suite

En Guyane française comme dans toutes les forêts «matures», les arbres sont en train de mourir debout…

Je relaie cette info en cette fin de COP 27, qui concerne un territoire évoqué par mon roman, mais là, c’est du sérieux et on ne rigole plus… Lire l’article > sur le site de Joël Jégouzo (Image créée avec l’IA Midjourney).

Bientôt Noël : idée cadeau !

C’est bientôt Noël : pourquoi ne pas offrir de quoi rire toute l’année prochaine (vue la taille du bouquin, 560 p.) avec « Au Lourd délire des lianes » (pour vous faire une idée > ici la 4e et surtout > ici des bonus inédits) et permettre à vos proches d’accéder à de quoi détester ou se…
Lire la suite

Halloween

Les enfants de la communauté guyanaise vaniVani auraient aimé que leurs parents les autorisent à fêter Halloween « comme tout le monde » et surtout comme ils le voient dans les publicités à la télévision. Hélas, chaque fois qu’ils se sont déguisés en monstres les années précédentes pour aller réclamer des friandises à la porte…
Lire la suite

Les voyages en avion

Pour les membres des communautés amérindiennes guyanaises macroqa et vaniVani, il est désormais devenu normal de prendre l’avion. Certes, c’est rarement pour s’adonner au tourisme (trop coûteux), parfois pour le travail (quand on leur propose autre chose que de s’agiter dans des spectacles de cabaret), mais le plus souvent pour certains boursiers afin d’aller suivre…
Lire la suite

Problèmes de connexion : suite

La révolution numérique n’a pas eu de répercussions sur la vie quotidienne qu’en métropole. Pour les communautés et tribus de Guyane, c’est enfin la possibilité de se signaler dans la forêt sans taper comme un crétin de baboune sur les arbres-tambours, c’est cartographier son territoire, marquer les abattis éloignés et les spots de chasse, prendre…
Lire la suite

Le guide s’appelle Francis

Captures d’écrans d’une « story » de « Guyane Tourisme », sur Instagram. Le Guide s’appelle Francis. Ce n’est pourtant pas un prénom courant ; mais ce n’est pas moi. (Non, ce n’est pas le village macroqa ni celui des vaniVani, et on ne met pas de cédille à Francis :-))

En Guyane, l’histoire encore taboue de « l’éducation forcée » d’enfants amérindiens

Ouest-France 3/10/22 Pendant des décennies, des centaines d’enfants amérindiens ont été placés dans des pensionnats religieux. Hélène Ferrarini exhume cette histoire déchirante qui s’est déroulée dans le département français d’Amérique du Sud. > Article ici (abonnés Ouest-France)

Les cours d’escalade

Lorsque les enfants de la communauté macroqa sur les rives de l’Approuague en Guyane souhaitèrent soudain apprendre à grimper aux arbres et à se déplacer à l’aide de lianes et de cordes comme tout bon chasseur, le chaman et le chef coutumier-maire se réjouirent, après tant d’années lors desquelles les jeunes générations s’étaient désintéressées des…
Lire la suite

Les peintures corporelles

il fallut plusieurs campagnes de recherches et d’observation aux anthropologues pour comprendre la signification des nouvelles peintures corporelles de cérémonies affichées depuis peu par les jeunes de la communauté vaniVani installée sur les bords de l’Approuague ; ornements inédits qui se mirent à effectuer une rupture radicale et surprenante avec les motifs traditionnels ,qu’elles ont,…
Lire la suite

Le magicien

Longtemps, on se demanda pourquoi la tribu vaniVani n’avait plus de chaman, ce qui la distinguait étrangement des autres peuples autochtones de Guyane. C’est une enquête d’El Cabo, un journaliste pigiste pour le magazine « Petit Peyi » qui mit fin au mystère en narrant son étonnant parcours. L’article dévoila que l’homme avait quitté la communauté pour…
Lire la suite

Les nouveaux poissons

Pour une fois, il y eut une question posée à l’ordre du jour du Comité Tribal (CoTrib) Municipal vaniVani. La mère de famille Isabelle Morpho-Bleu était en effet intervenue : « Doit-on manger ces nouveaux poissons inconnus apparus depuis que les orpailleurs clandestins déversent du méthylmercure en amont ? » Très remontée, elle précisa : « C’est…
Lire la suite

Les fétiches

[Série de statuettes sans titre : parties de divers animaux morts issus de la forêt guyanaise, goudron, silicone, perles et verroterie de chez le Chinois-Qui-Vend-Tout, métal fondu, pigments, patafix, huile essentielle de cassier, parfum artificiel vanille] Les fétiches créés par Cécile Girafe-À-Pieds-De-Tortue l’artiste plasticienne macroqa engagée dans une recherche personnelle du « new arte povera…
Lire la suite

La question du premier arbre

Le récit fondateur du peuple macroqa narre qu’au Commencement du Début du Tout-Début, Père Agouti et Mère Alouate ont créé le monde, installé leur case au pied de Tàpâpùkitï le premier arbre qui se trouvait dans un coin giboyeux et poissonneux, et y ont placé la voûte céleste, toujours sereine, au-dessus. Il est dit aussi…
Lire la suite

Zoyrbeck

Depuis des années, la vie en Guyane que menait Zoyrbeck, ex-mercenaire d’origine moldavo-tchétchène et aventurier, répondait à ses principes de liberté et d’indépendance et il assumait tous ses actes commis lors des missions criminelles qu’on lui confiait sans états d’âme, car ils étaient somme toute correctement rémunérateurs et exempts de charges sociales. Et lors de…
Lire la suite

Critique du site « Black Libelle » De Lionel Germain

« Au sujet de la tribu Quelque part entre le sérieux éblouissant de « Tristes tropiques » et la monstruosité littéraire de « La Maison des feuilles », le roman de Francis Mizio est d’abord une aventure en soi. » > La suite ici. (Illustration composée avec l’IA Midjourney).

Petit Yolok (2)

Les petits Yoloks, esprits mauvais de la forêt et serviteurs de leur maître terrible, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Dire-Le-Nom, apparaissent au chaman macroqa lors de ses transes et l’envoûtent pour qu’il porte leur message maléfique auprès de la tribu. Toujours fourbes, teigneux, manipulateurs pervers, leur propos essentiel vise à créer le désordre, le chaos, insuffler l’angoisse, créer des dissensions…
Lire la suite

Alerte erreurs !

Un petit Yolok a frappé page 18 et page 31 (merci Philippe !). : « j’ai relevé deux trucs à te signaler : quand tu parles du costard « indéfroissable » au début, je pense qu’il y a une légère erreur et que tu voulais dire « infroissable » (p.18). Et pour ce qui est des…
Lire la suite

Les danseuses vaniVani

Lorsque le projet du Jungle River Boat (JRB), le bateau-restaurant-cabaret fut lancé par la tribu vaniVani afin d’attirer les touristes sur son rivage de l’Approuague (Guyane), la meneuse des danseuses Odile Grande-Aigrette profita de l’occasion pour exprimer sa créativité à l’occasion de l’élaboration des costumes de la revue d’alakélêlé. Inspirés des tenues indiennes, les robes…
Lire la suite

Jojo Batdaf

Jojo Batdaf, ex-légionnaire tenancier du bar de l’Agar à Régina (Guyane) est un homme très pieux, obnubilé par l’idée d’inculquer des principes de tempérance à sa clientèle, bien qu’il soit titulaire d’une Licence IV. Sa campagne de promotion de son jus de wassaï agrémenté de divers ingrédients dont il garde le secret (offre consistant à…
Lire la suite

Le magasin du Chinois-Qui-Vend-Tout

À son origine, le magasin du Chinois-Qui-Vend-Tout à Régina (Guyane) pensé par un visual merchandiser de la métropole chargé d’accompagner et de former les équipes de vente sur l’identité visuelle, la présentation et la mise en place des produits, « conciliait l’esthétique et l’efficacité commerciale afin d’optimiser les ventes ». Clarté, ergonomie, séduction des linéaires, design, positionnement…
Lire la suite

La Cafetière

Surnommé « la cafetière » à cause de sa carnation et surtout de ses tics et de sa permanente et extrême agitation, le Surinamien réputé pour sa vive intelligence est accusé en Guyane de nombreuses malversations, jamais totalement prouvées : trafic d’êtres humains et d’animaux protégés, prises de touristes en otages, braquages, meurtres, orpaillage clandestin,…
Lire la suite